La vie est belle.

La vie est belle

 

Le seul objectif, c'est d'être heureux, c'est la seule raison pour laquelle on a été créé, pour devenir heureux et surtout conscients de l'être.

Et ce, malgré les déversements journaliers de négatif: la Terre se réchauffe, le clonage va donner des monstres, il y a eu trois meurtres, les OGM finiront par nous empoisonner... On cultive en nous, à force de répétitions, un état d'esprit de malheur prioritaire.

Le malheur, d'abord le malheur, quoiqu'il arrive de positif, une extraordinaire découverte scientifique par exemple, on commence avant tout par signaler ce qui pourrait ne pas aller... c'est épouvantable.

Bien sûr que le progrès peut contenir des choses négatives, mais le passé aussi. Et le passé contient plus de choses négatives que le progrès, car le progrès libère l'être humain. Si la conscience et le don dirigeaient la conscience humaine, le progrès servirait uniquement au bonheur.

C'est vous seul qui choisissez si votre journée sera positive ou négative. Ce n'est pas difficile, c'est un entraînement.

Si vous choisissez souvent le positif, votre cerveau réagira par automatisme en positif et vous serez heureux... Ca marche tout seul, il suffit d'appuyer sur le bouton. Mais si vous choisissez le négatif, votre cerveau réagira par le même mécanisme d'habitude, mais en négatif, et vous serez malheureux car vous vous serez empoisonné. Quand on est négatif, on est comme un trou noir, on n'est pas appétissant et les autres nous fuient.

Pour vous déshabituer du négatif, rééduquez-vous tous les jours en fabriquant du positif et ceci dès le matin.

Soyez heureux, profitez de la vie, jouissez d'elle à chaque instant. Soyez heureux et vous serez entouré par les autres car ils voudront être contaminés et s'imprégner de votre bonheur.

 

Le droit d'être soi

 

Ne perdez pas d'énergie à essayer de convaincre les autres, mais n'acceptez jamais que les autres veuillent vous changer, parce que vous êtes unique.

J'aime beaucoup cette phrase et je la redis souvent: «jusqu'à aujourd'hui je me battais pour changer le monde, maintenant je me bats pour que le monde ne me change pas». C'est tellement important, on n'a pas le droit d'essayer de changer les autres et eux n'ont pas le droit d'essayer de nous changer si nous ne le désirons pas.

Ne les laissez pas les autres vous changer, défendez le droit d'être vous-même.

Défendez vos idées. Avez-vous déjà entendu au cours de débats télévisés, certains journalistes demander à des personnalités: «que doit-on penser de... ?». Voici une phrase très représentative d'une société à la pensée unique, constituée d'adultes s'efforçant d'être politiquement, socialement et religieusement corrects.

On devrait dire: «que peut-on penser de...» car ceci est au contraire une invitation à l'ouverture, à une palette infinie d'avis... L'échange est permis, l'écoute s'installe, l'entente n'est pas loin.

Le «doit-on penser» engendre des drames, des souffrances, des rébellions, des crimes contre l'Humanité.

Le «que peut-on penser» libère des idées différentes, des choix possibles et incite à la réflexion.