L'inquiétude.
Pour reprendre mon exemple de l'élève qui passe son BAC, s'il a des inquiétudes avant de passer son examen, c'est qu'il sent au fond de lui qu'il lui reste des leçons à travailler, il peut donc changer le cours des choses en se mettant au travail, ainsi ne plus être dans l'inquiétude. Et s'il décide de ne pas se mettre au travail, l'inquiétude n'a pas lieu d'être non plus, car c'est son choix.
J'ai demandé, au moment où je rédigeais cet article, à l'Univers de m'envoyer quelque chose de personnel qui puisse illustrer cela. Et comme toute demande est entendue, j'ai appris le même jour que mon fils qui partait en classe de neige la semaine suivante ne ferait pas le trajet en train (comme c'était prévu initialement), mais en car. Sachant qu'il partait à la montagne (neige, verglas et j'en passe) et qu'il y avait 700km à faire. J'ai pu lire l'inquiétude dans les yeux des parents, qui étaient déjà angoissés de laisser leur enfant partir 15 jours. J'ai donc choisis de ne pas m'inquiéter de cela, de ne pas céder au stress de ce départ. Car, comme je viens de l'expliquer, m'en inquiéter n'aurait changé en rien le cours des choses.
- "Si le problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. Mais s'il n'y a pas de solution, alors s'inquiéter ne changera rien."